Cécile Duflot quitte ses fonctions gouvernementales sur une phrase bouleversante : « Ma liberté, pleinement retrouvée et assumée, je la mets au service de la gauche, de l’écologie et de la France ! » Un appel au secours qui ne nous laisse pas indifférents. Qu’à cela ne tienne ! Nous avons d’ores et déjà un job à lui proposer, dans notre entreprise de farces et attrapes « Au joyeux cotillon ».
Profitant de son isolement durant le cocktail, alors que tous les pique-assiette se pressent au côté de la nouvelle ministre Sylvia Pinel, nous abordons la plantureuse Cécile.
- Relève la tête, camarade ! s’écrie Festjens. Le pays a besoin de toi !
- Mais enfin, qui êtes-vous ? glapit-elle, en cherchant déjà des yeux les gardes du corps qu’elle n’a plus.
- Des amis ! précisons-nous en tâchant de la retenir. Des envoyés la providence !
- Que voulez-vous ?
- Te proposer un job, Cécile ! Un truc tout à fait dans tes cordes : testeuse de coussins péteurs dans nos ateliers du Joyeux cotillon !
- Avec ton gros pétard, tu pourras en rester trois d’un coup ! Renchérit Antilogus. On va se faire des couilles en or !
- Au secours ! Au secours ! crie la verte écologiste.
Nous battons en retraite, mais ce n’est que partie remise.